23/12/2007
A la bascule de l'an
Trois éléments dans la simultanéité des heures:
- Dans la collection "À CÔTÉ" des Cahiers du Museur, je mets un point final à Braises sous le vent texte qui accompagne une mise photographie de Frédéric Lefeuvre, mise en lumière du pog de Monségur
- J'apprends alors que je boucle mes bagages pour Perpignan, Paris puis Valberg, la mort de Julien Gracq
Vite, vite, cet extrait que j'emprunte à Lettrines: "
"Montségur. Quand j'y passai, le paysage était ruisselant, les montagnes cachées derrière des échartpes de pluie. (...) En quittant Lavelanet par la route de Quillan, tois ou quatre fois encore par des brèches dans l'écran de la chaîne verdoyante, on voit au midi la dent sombre au profil redoutable, la pierre brûlée qui reparaît uyn instant et fait signe, comme un phare mystérieux de lumière noire."
- Cette image, venue de l'autre côté de la frontière, où se tient celle qui m'accompagne :
À très bientôt!
Bonne énergie à tous, toutes pour l'année nouvelle qui s'annonce! Difficile, comme de juste!
14:10 Publié dans Dans les turbulences | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
pourquoi , comme de juste ?
Écrit par : lam | 30/12/2007
Justement, les livres de Gracq peuvent aussi devenir des livres de voyage, enseignant encore comment ralentir le regard, comment faire face aussi aux turbulences.
Écrit par : Tieri Briet | 30/12/2007
Je me réjouis que tu aies mis un point final à ce poème qui me plait tant ;)
Je te souhaite une belle année 2008...
Hasta pronto!
Véronique
Écrit par : Véronique | 30/12/2007
Ce "comme de juste" sonne comme les trompettes de Jéricho, juste Dieu !!
Le "Pace è salute" traditionnel que je n'oublie pas de vous présenter est tout de même plus rassurant.
Amicizia,
Anghjula
Écrit par : Angèle Paoli | 06/01/2008
feliz año!
Écrit par : Luna | 06/01/2008
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